Formation "Prévention de la Radicalisation" à Paris en Mai et Juin

Publié le mardi 24 avril 2018
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MARS-AVRIL 2018 Nouvelles Ressources Documentaires BICHOT Jacques, Le fardeau des crimes et délits qui provoquent les blessures de l’intimité : Étude réalisée à la demande de l’Institut pour la justice (IPJ) - Paris : Institut pour la Justice, 2016 - 132 p. - (Etudes et analyses ; n°21) Résumé : Il est toujours délicat d’évaluer le coût que peuvent représenter la criminalité et la délinquance, car chacun sent bien que les préjudices subis par les victimes de celles-ci ne peuvent pas être adéquatement représentés par des sommes d’argent. A fortiori pour ce qui relève des blessures de l’intimité, c’est à dire les violences sexuelles et les maltraitances internes à la famille, qui ont une charge émotionnelle si grande. Pourtant, il est nécessaire de comparer les conséquences économiques de ces actes au coût des mesures qui permettent (ou permettraient, si elles étaient prises) d’en limiter le nombre et d’apporter quelque remède aux blessures provoquées. Car les ressources sont toujours limitées et des choix budgétaires s’imposent donc inévitablement aux décideurs publics. Or si une dépense publique s’avère économiquement rentable, c’est-à-dire si elle permet non seulement d’améliorer la situation de certaines personnes, mais si de plus elle a comme conséquence d’augmenter la production, et donc les ressources disponibles, ou de diminuer certains gaspillages, son financement est plus facile, puisqu’elle génère des économies, une augmentation de la production et des rentrées de cotisations sociales et d’impôts. Il est non moins nécessaire d’étudier la pertinence relative des différentes mesures envisageables, car l’efficacité d’une dépense donnée peut varier considérablement selon que cet argent est utilisé d’une façon plus ou moins intelligente. Le « retour sur investissement » est plus ou moins important. L’étude effectuée par le professeur Jacques Bichot pour le compte de l’IPJ démontre ainsi non seulement que les budgets publics consacrés aux blessures de l’intimité ne sont pas quantitativement à la hauteur du problème, car ces blessures représentent un coût économique considérable et que s’y attaquer plus sérieusement pourrait apporter une contribution efficace à la bonne santé économique du pays, mais aussi que l’argent public qui est déjà employé à cette fin pourrait être dépensé de façon plus efficace. COTE Isabelle, Les pratiques en maison d'hébergement pour femmes victimes de violence conjugale : 40 ans d'histoire - Québec : Presses de l'Université du Québec, 2018 - 202 p. Résumé : C'est au milieu des années 197O que des Québécoises, décidées à sortir le phénomène de la sphère privée, ont mis sur pied les premières maisons d'hébergement pour femmes victimes de violence conjugale. Levant le voile sur la violence des hommes à l'endroit des femmes dans les couples, problème longtemps compris comme étant d'ordre familial, elles ont développé des ressources permettant d'accueillir celles qui désiraient se soustraire à l'emprise de leur agresseur. Les maisons d'hébergement se sont ainsi imposées comme l'une des plus importantes réponses du mouvement féministe à cette problématique, au Québec et ailleurs. Le présent ouvrage trace l'évolution, sur une période de 40 ans, des pratiques dans les maisons d'hébergement pour femmes victimes de violence conjugale au Québec. Articulé autour des valeurs qui sont au cour de ces ressources, il comporte à la fois une dimension historique alimentée par des rencontres avec des pionnières et de multiples allers-retours entre la théorie et la pratique. LOMBARDI Edith, Sortir de la maltraitance : Violences conjugales : résister, c'est comprendre, c'est agir - Paris : L'Harmattan, 2016 - 218 p. Résumé : Des femmes témoignent. Celles qui furent des filles de mères maltraitées témoignent également. De même que la septième épouse de Barbe-bleue échappa au malheur grâce à sa lucidité, de même les femmes qui nous parlent ici ont réussi à trouver leur voie de libération. Sortir de la maltraitance, quitter une relation toxique, c'est se raccrocher à la vie. Cela demande de comprendre suffisamment ce qui se passe, car la violence tend à coloniser nos esprits. L'auteure croise ces témoignages avec son expérience professionnelle. Retrouvez l’ensemble de ces informations sur notre portail documentaire : http://viffil.centredoc.fr Consultez notre site Internet : www.viffil.com

Le Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation organise des sessions de formations nationales qui auront lieu :

les 17 et 18 mai 2018
et
les 21 et 22 juin 2018

à l’Amphithéâtre du Bâtiment Lumière du Ministère de l'Intérieur,
40, avenue des terroirs de France,
75012 Paris

Le programme des 2 jours est disponible, ainsi que les informations pratiques pour accéder au lieu de la formation.
Si vous êtes intéressés, vous pouvez vous inscrire à ces sessions sur la plateforme d'inscription via les liens ci-après:

 

 

Formation "Prévention de la Radicalisation" à Paris en Mai et JuinTue Apr 24 2018 18:03:11 GMT+0200 (Paris, Madrid (heure d’été))
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