[Appels à projets] Pour l'inclusion des personnes sous main de justice
Publié le mardi 24 septembre 2024Dédiés aux projets et structures de l’insertion des personnes sous main de justice, le programme Act’ice développement et le Prix 2D (Dedans-Dehors) cherchent leurs nouvelles promotions : les appels à projet sont ouverts jusqu’au 18 octobre 2024.
Ronalpia, l'Association Possible et l’ATIGIP partent à la recherche des projets d’inclusion pour les personnes sous main de justice, avec deux parcours différents.
Vous portez un projet rédigé et testé en faveur de l’inclusion des personnes sous main de justice ?
Act’ice développement, un parcours d’accompagnement pour monter en compétences sur le milieu de la justice pénale mieux structurer son projet.
Le profil idéal :
- Porter un projet qui relève de l’économie sociale et solidaire (association, entreprise sociale...)
- Un projet qui agit en faveur de l’inclusion, de la prévention de la délinquance et de la récidive des personnes placées sous main de justice : insertion socio-professionnelle, accès à la santé, à la culture, au droit, au logement, liens familiaux, développement des compétences psychosociales…
- Un projet qui en est au bon stade : déjà rédigé, il a idéalement fait l’objet d’un test en conditions réelles. A tout le moins, le porteur est allé rencontrer des personnes-ressources du milieu de la justice pénale afin de confronter son idée et de la renforcer.
Vous avez une action déjà opérationnelle spécifiquement en faveur de l’insertion professionnelle des personnes sous main de justice ?
Le Prix 2D (Dedans-Dehors), avec une dotation et des temps de co-construction pour mieux coopérer avec les acteurs publics du secteur justice.
Le profil idéal :
- Porter un projet qui relève de l’économie sociale et solidaire (association, entreprise sociale…).
- Un projet qui agit sur l’insertion professionnelle des personnes sous main de justice.
- Un projet qui en est au bon stade : déjà expérimenté, le projet a fait sa preuve de concept et répond à un besoin évalué auprès des personnes accompagnées et des professionnels de la justice pénale (SPIP, DPIP…).
- Avoir besoin de mieux coopérer avec les acteurs publics pour se développer.